le groupe écologiste solidarité & territoires
Le groupe écologiste – Solidarité & Territoires du Sénat rassemble 12 sénateurs et sénatrices écologistes et citoyens.
Nous entendons porter la voix de l’écologie au Sénat, en lien étroit avec les élus locaux et les territoires que nous représentons.
Notre groupe s’inscrit dans la continuité de celui qui a existé entre 2011 et 2017 au Sénat. La création du groupe a été rendue possible par les victoires écologistes dans de nombreuses villes lors des élections municipales de 2020.
Seul groupe parlementaire écologiste, le groupe est composé en majorité d’élu.e.s Europe Ecologie les Verts mais aussi d’élu.e.s citoyens écologistes, citoyens ou issus du mouvement Génération-s.
Nos valeurs sont celles de l’écologie politique, de la solidarité, de la démocratie et du progrès : protection de l’environnement et des droits humains, urgence écologique et justice sociale, défense des libertés publiques, féminisme, solidarité internationale, émancipation, démocratie participative, laïcité… Nous portons fièrement la représentation de tous les territoires (ruraux et urbains) et la défense de la décentralisation.
Nous sommes déterminés à porter le projet des écologistes au Sénat, en lien étroit avec les mouvements et partis écologistes, les élu.es locaux et les eurodéputé.e.s qui siègent au Parlement européen.
Guillaume Gontard
Président du groupe
Architecte de métier, il s’est engagé très jeune dans sa commune du Percy (165 habitant.e.s, Isère) d’abord au niveau associatif, puis comme conseiller municipal et adjoint au maire. Il est élu maire en 2008, réélu en 2014. Au cours de ses mandats il apprécie l’efficacité du travail d’équipe au plus proche des réalités en mettant en place des projets qui contribuent à améliorer le quotidien de chacun.e.
Après une candidature aux départementales de 2015, il est choisi pour mener la liste de rassemblement des communistes, écologistes et du M1717 (qui deviendra Génération.s) au sénatoriales de 2017. Son profil consensuel d’écologiste de gauche, encarté dans aucune formation politique a permis de construire ce rassemblement.
Elu au Sénat en septembre 2017, il rejoint le groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste et siège à la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable dont il devient vice-président. Le fil rouge de son engagement est l’accompagnement des territoires dans la transition écologique et sociale avec une attention particulière pour les communes rurales et les territoires de montagne.
Il s’investit tout particulièrement dans les travaux du Sénat relatifs aux transports, à la biodiversité, à l’économie circulaire mais également à l’agriculture et à l’énergie.
En septembre 2020, à l’occasion du renouvellement du Sénat et fort de ses trois années d’expérience au Sénat, de son profil d’écologiste rural ancré dans son territoire alpin, il est élu président du nouveau groupe Écologiste – Solidarité et Territoires.
A l’occasion de ce renouvellement il rejoint la commission des Affaires étrangères et de la Défense dont il devient vice-président, ainsi que la Délégation sénatoriale aux Outre-mer.
Esther Benbassa
Vice-Présidente du groupe
Née à Istanbul, ayant vécu plusieurs années en Israël, Esther Benbassa est arrivée en France à l’âge de 22 ans.
Titulaire du CAPES de lettres modernes, elle a d’abord enseigné dans le secondaire. Docteure de troisième cycle de l’université Paris VIII avec une thèse sur la Culture et la Commune de Paris (1871) et docteure d’État avec une thèse sur le rôle politique et diplomatique du dernier grand rabbin de l’Empire Ottoman, Haïm Nahum, elle intègre le CNRS en 1989 comme directrice de recherche.
Elle est élue en 2000 directrice d’études à l’École pratique des hautes études (EPHE, Sorbonne) sur une chaire d’histoire du judaïsme moderne qu’elle est la première femme à occuper.
E. Benbassa a publié ou dirigé une trentaine d’ouvrages traduits dans de nombreuses langues, pour l’essentiel dévoués à l’histoire des Juifs en terre d’Islam et en France ainsi qu’à l’histoire comparée des conditions minoritaires à l’ère contemporaine. Elle a été Visiting Professor dans divers centres de recherches et universités en Europe et aux États-Unis.
E. Benbassa est entrée tardivement en politique, EELV l’ayant invitée à se présenter sous ses couleurs, comme personnalité d’ouverture, aux élections sénatoriales de 2011. Elle s’était jusque-là investie comme intellectuelle dans le débat public et avait été active dans le milieu associatif, cofondant notamment « Le Pari(s) du Vivre-Ensemble », structure dédiée à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et toutes les formes de discriminations.
Élue dans le Val-de-Marne en 2011, sénatrice de Paris depuis 2017, elle est restée fidèle à ses engagements fondateurs, son action se concentrant sur les questions de justice environnementale et sociale, les questions sociétales, les libertés individuelles et publiques, le respect et la promotion des droits humains, les questions LGBTQI, l’immigration, l’égalité, la condition animale.
Chevalier de l’ordre du Mérite et de la Légion d’honneur, lauréate 2006 du Prix Seligmann contre le racisme, elle a été désignée « sénatrice de l’année » 2017 par Le Trombinoscope.
Elle est vice-présidente du Groupe Écologiste – Solidarité et territoires, secrétaire du Sénat et membre de la Commission des Lois.
Guy Benarroche
Né en 1954, après des études au lycée a Marseille (Lycée St.Charles), il intègre la Fac de Sciences Eco U2 à Aix et y obtient un DEA es Sciences Economiques.
Étudiant, il crée un Syndicat étudiant en 1975 (année de grèves longues) mais aussi l’association CLAP en 1972.
Ce Comité de Lutte Anti Pollution est l’une des toutes premières associations environnementale des Bouches du Rhône qui s’attache à dénoncer la pollution liée aux industries autour de l’étang de Berre et du Golfe de Fos , dénoncer le tout nucléaire dès ses débuts, lutter contre la » Méditerranée poubelle de l’ industrie ».
Dès 1974 il devient directeur de publication de ‘’L’ Or Vert » journal de l’ Écologie libertaire puis crée la revue de poésie Pulsations (tout en ouvrant un magasins de disques et en animant une association qui organise de nombreux concerts).
La même année, il s’engage politiquement et devient le correspondant départemental de René Dumont dans sa campagne présidentielle.
Après avoir pris du temps pour sa vie familiale (marié, deux enfants) et professionnelle (ses fonctions successives de salarié, d’entrepreneur, de chef d’entreprise, de commençant lui confèrent une vraie expertise du monde économique et du travail), il adhère pleinement à EELV en 2010.
Elu membre du Bureau Exécutif Régional en charge des Groupes Locaux en 2011, puis Secrétaire régional PACA en Novembre 2013 jusqu’à Novembre 2020 où il intègre le Bureau Exécutif national.
Elu sénateur en septembre 2020, il reste conseiller municipal de la Bouilladisse (où il est élu depuis 2014).
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Ronan Dantec
Vétérinaire de formation, Ronan DANTEC s’est ensuite tourné vers la radio et la création culturelle. Il est l’auteur de nombreuses expositions et de livres sur l’histoire des loisirs populaires, l’évolution des représentations et des identités.
En 2001, alors vice-président de Nantes métropole chargé de l’environnement et du développement durable, il conduit la mise en œuvre de l’Agenda 21 (2005), du plan climat (2006) et pilote avec succès la candidature de Nantes au titre de Capitale verte européenne (lauréate en 2013).
Depuis le 25 septembre 2011, Ronan Dantec est Sénateur de la Loire-Atlantique, vice-président de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, il a été notamment chef de file des sénateurs écologistes sur la loi sur la transition énergétique en 2015. Il a produit, en 2019, un rapport sur l’adaptation de la France aux dérèglements climatiques à l’horizon 2050.
Il suit au niveau du nouveau groupe Ecologiste-Solidarité et Territoires du Sénat, les enjeux climat, biodiversité et aménagement du territoire. Il est par ailleurs président délégué du groupe d’amitié sénatorial pour la Tanzanie. Il suit avec attention les questions de trafic de faune sauvage. Il est président de la commission spéciale chargée de l’action de l’Observatoire National sur les Effets du Changement Climatique (ONERC) au sein du Conseil National de la Transition Écologique (CNTE).
Toujours membre actif des réseaux internationaux de collectivités locales sur les enjeux climat, l’action de Ronan Dantec vise à établir un cadre cohérent et une synergie entre les niveaux d’intervention locaux, nationaux et internationaux sur les questions climatiques. Il est porte-parole climat du Conseil des Communes et Régions d’Europe (CCRE) et président de l’association Climate Chance.
En 2017, il est l’un des membres fondateurs du Rassemblement Territoires44 qui a vocation à regrouper des élus de Loire-Atlantique mobilisés sur les enjeux de transition écologique et sociale, développant de nouvelles formes de démocratie participative, soucieux de développer un nouveau modèle de coopération entre les territoires, préoccupé tant de l’avenir des territoires ruraux que des fractures urbaines. Il préside Ensemble Sur Nos Territoires, qui fédère au niveau national des structures départementales ou régionales, comme Territoires44.
Monique de Marco
Vice-Présidente du groupe d’amitié France Italie
Secrétaire du groupe d’amitié France Québec
Professeure de technologie à la retraite.
Engagée dans les combats écologistes depuis la création des comités anti-nucléaires dans les années 1980, Monique de Marco est militante chez les Verts depuis près de trente ans, ainsi que dans de nombreuses associations environnementales et de solidarité.
Conseillère municipale à Talence depuis 2001, conseillère régionale en 2004, présidente groupe inter-assemblées Nouvelles technologies, puis présidente de la commission Culture, elle s’est investie dans le travail sur la vision prospective « Aquitaine Horizon 2020 » et a contribué au Schéma régional d’aménagement et de développement durable du territoire.
Tête de liste EELV aux élections régionales en 2010, elle a exercé un mandat à temps complet de 2010 à 2015 comme Vice-Présidente du Conseil régional d’Aquitaine, en charge de l’environnement et de l’adaptation au changement climatique.
Elle a mené avec passion et obstination de nombreux projets sur la transition énergétique et écologique comme les Territoires à énergie positive, un plan d’action pour l’éducation à l’environnement et au développement durable, le Schéma Régional de Cohérence Écologique, la feuille de route sur l’économie circulaire et engagé la Région dans la COP21. Elle a créé l’Agence régionale de la biodiversité, et le comité scientifique régional sur le changement climatique en Aquitaine (Acclimatera), qui fait aujourd’hui référence au niveau national.
Sénatrice de la Gironde depuis septembre 2020, Vice-Présidente de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication, elle y mène des combats pour défendre le service public de l’éducation, de la recherche et de l’audiovisuel public, ainsi que la richesse et la diversité des productions culturelles.Sénatrice de la Gironde.
Vice-Présidente de la commission de la Culture, de l’Éducation et de la Communication
Thomas Dossus
Jacques Fernique
Bénévole dans l’éducation populaire, puis professeur de français et d’histoire des lycées professionnels, c’est pour les valeurs d’éducation et de citoyenneté que Jacques Fernique s’engage auprès des Verts dès 1988. Il devient conseiller municipal à Geispolsheim, et à partir de 2004 il est élu au Conseil régional d’Alsace, où il présidera le groupe écologiste pendant une décennie. En 2008, il devient secrétaire régional des Verts, et anime le rassemblement qui créera en Alsace Europe Ecologie Les Verts. Il conduit la liste Ecologiste aux élections régionales de 2010, et agit fortement, par-delà les clivages, pour une décentralisation désirable, l’efficacité de l’action publique et un renouveau démocratique.
En 2020, c’est une liste d’union large de la gauche et des écologistes qui le fait élire au Sénat, où il est membre de la commission aménagement du territoire et développement durable, et vice-président de la commission des affaires européennes.
Son engagement, c’est celui de la transition écologique par la solidarité et par le renouvellement démocratique. Renforcer la cohésion entre l’urbain et le rural, accompagner dans la proximité des projets de territoire : autant de pain sur la planche pour son mandat sénatorial.
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Joël Labbé
Porté par des valeurs humanistes et une grande sensibilité aux questions environnementales, Joël Labbé s’engage en politique dès l’âge de 25 ans, avec un premier mandat électoral comme adjoint de sa commune de Saint-Nolff (Morbihan), avant de prendre les rênes de la mairie de 1995 à 2014. Bousculant la pratique politique locale, l’exercice de son mandat de maire s’incarne par l’engagement de sa commune dans le réseau des “Communes du Monde” en 1997, dans une démarche d’Agenda 21 local dès 2005, le zéro-phyto dès 2006, ou le lancement d’un festival militant.
Il sera également élu Conseiller général du canton d’Elven en 2001, puis Président du projet de Parc Naturel Régional du Golfe du Morbihan en 2008, mandats auxquels il renoncera suite à son élection aux sénatoriales de 2011. Après avoir rallié Europe-Ecologie-Les-Verts en 2009, il choisit de se mettre en retrait du parti en décembre 2016, tout en restant fidèle à son engagement écologiste.
Au Sénat, Joël Labbé est membre du premier groupe écologiste de la Ve République de 2012 à 2017. Il salue le retour des écologistes au sein de la Haute assemblée en 2020 et la naissance du groupe écologiste, solidarité et territoires. Vice-Président de la commission des Affaires économiques, il est particulièrement investi sur les questions agricoles et alimentaires et la préservation de la biodiversité. Il est notamment l’auteur de la loi « zéro-phyto », qui a banni l’usage des pesticides sur les espaces publics au 1er janvier 2017, et qui en a interdit la vente aux particuliers en 2019. La réhabilitation des métiers de l’herboristerie constitue également l’un des axes forts de son second mandat.
Paulu Santu Parigi
Né le 07 avril 1966 dans la petite ville rurale de Corti, capitale historique de la Corse indépendante du 18ème siècle située en plein milieu du massif corse, Paulu Santu Parigi grandit dans le village d’origine de sa famille, Santa Lucia di Mercoriu, à quelques kilomètres plus à l’est.
Elevé au sein d’une famille de bergers et de cultivateurs enracinés dans leur territoire depuis des dizaines de générations, le quotidien paysan et la réalité pastorale de cette petite commune montagnarde – ne comptant alors pas plus de deux cents âmes – rythment son enfance et structurent sa pensée. La vie est entièrement communautaire, tournée vers l’agriculture vivrière. Le salariat y est très rare et le corse est la langue quasi-exclusive des interactions sociales. Paulu Santu Parigi puise dans cette enfance l’essence même de son action politique et de sa vie tout entière.
Il entre à l’Università di Corsica, faculté fermée en 1769 lors de l’annexion française de la Corse et réouverte plus de deux siècles plus tard, en 1981, sous la pression populaire et après de longs combats menés par les nationalistes coalisés avec les forces de progrès de l’île. Il y obtient une double Maîtrise d’histoire et de langue et culture corses en 1990 avant de valider un Mémoire professionnel à l’IUFM en 1997.
Conseiller principal d’éducation au lycée de Corti en 1990, il obtient par la suite un poste d’enseignant en langue et culture corses et participe à l’expérimentation associative de la première école immersive corse, a Scola corsa di Corti. Cette initiative débouche sur la création d’une filière publique complète sur le site de l’école Sandreschi. Dès 1997 et jusqu’en 2016, il anime le centre immersif linguistique de Savaghju, site unique en Corse recevant des classes primaires dans un cadre corsophone et organisant des activités tournées vers le patrimoine et la nature.
Passionné de poésie en langue corse, Paulu Santu Parigi reçoit en 1993 le prix de poésie de la foire du Niolu ainsi que le premier prix Chjam’è rispondi de la foire du Pratu, en 1995.
Militant et défenseur de la cause corse dès son plus jeune âge, il se fait élire en 2001 et devient Maire de son village de Santa Lucia di Mercoriu. Reconnu comme un acteur incontournable du monde rural, il est élu en 2015 en tant que conseiller territorial sur la liste nationaliste victorieuse Pè a Corsica qui récolte une large adhésion. En 2017, il préside la Communauté des communes Pasquale Paoli jusqu’en juin 2020. Elu sénateur de Haute-Corse en septembre 2020, il démissionne de ses fonctions de premier magistrat et de conseiller territorial pour se consacrer exclusivement à son mandat parlementaire.
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Raymonde Poncet
Élue sénatrice du Rhône le 27 septembre 2020, elle est vice-présidente de la Commission Affaires sociales et santé et de la Délégation aux Droits des femmes. Également membre du groupe interparlementaire d’amitié France-Palestine, son mandat est empreint de son énergie, de sa fibre humaniste et de ses combats pour la justice climatique et sociale.
Elle aime ainsi à rappeler « qu’elle est venue à l’écologie Politique par le social ».
Daniel Salmon
Titulaire d’un Master en géographie, aménagement et développement durable, Daniel Salmon a été Professeur des écoles pendant près de 35 ans.
Président de l’association « Phare Ouest » qui promeut le patrimoine immatériel, adhérent chez les Verts depuis 1997, Daniel Salmon est élu en 2004 conseiller municipal de la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, puis adjoint au maire en charge des déplacements, de l’énergie et des espaces publics, de 2008 à 2020.
Il est choisi pour mener en vue des sénatoriales de 2020 en Ille-et-Vilaine, la liste d’union Ecologie & Solidarités, fruit du rassemblement des écologistes, de la gauche et des régionalistes.
Avec 19,86 % des voix, il devient le premier sénateur écologiste de l’histoire de l’Ille-et-Vilaine.
Siégeant au sein du groupe Écologiste, Solidarité & Territoires, membre de la commission des affaires économiques, il s’investit particulièrement sur les questions d’énergie, de rénovation thermique des bâtiments, de transition agroécologique, ou encore sur les enjeux de relocalisation et de souveraineté industrielle.
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Sophie Taillé-Polian
Alors étudiante, Sophie Taillé-Polian s’engage pour la démocratisation de l’enseignement supérieur et l’accès à la culture pour tous. Elle adhère au Parti socialiste en 1995, à l’issue du mouvement contre la réforme des retraites d’Alain Juppé. Fonctionnaire territoriale dans le domaine culturel, elle est élue locale à Villejuif et membre du mouvement Génération.s dont elle est élue coordinatrice nationale en décembre 2020.
Élue Sénatrice du Val-de-Marne sur une liste d’union de la gauche en septembre 2017, elle est vice-présidente de la Commission des Finances du Sénat. En octobre 2020 elle participe à la création du groupe Écologiste – Solidarité et Territoires qui la désigne cheffe de file dans les débats budgétaires de l’année 2021. Elle s’implique sur différentes questions comme la fraude fiscale, la fiscalité écologiste, la santé au travail, la réforme de la Police nationale, le recul de l’État de droit et l’Économie Sociale et Solidaire.
Le groupe Écologiste – Solidarité & Territoires du Sénat rassemble 12 sénateurs et sénatrices et leurs équipes (présentes au Sénat et en local).
Le groupe peut aussi compter sur une équipe composée de 7 collaborateurs et collaboratrices qui, sous l’autorité du Président de groupe, sont chargés de la coordination et d’un appui technique sur l’activité législative et la communication du groupe. L’équipe est composée de deux pôles :
- Secrétaire général du groupe : Wandrille Jumeaux
- Secrétaire générale adjointe : Mathilde Laurent
- Cheffe de cabinet : Camille Duchiron
- Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable et commission des Affaires économiques : Gael Jeanson, g.jeanson@ecologiste.senat.fr
- Commission des finances : Thomas Kekenbosch, t.kekenbosch@ecologiste.senat.fr
- Commission des Lois : Clara Nahmani : c.nahmani@ecologiste.senat.fr
- Commission des Affaires sociales : Alexandre Teke-Laurent: a.teke-laurent@ecologiste.senat.fr