Avec ma collègue députée Sandra Regol, j’ai aussi visité l’établissement psychiatrique d’Erstein. Le personnel y est bienveillant et à l’écoute des malades. Pour calmer les patients en crise, des méthodes douces sont privilégiées : balade dans les espaces verts, salle calme, musique ou technologies de réalité virtuelle. Ces pratiques ont fait baisser significativement le nombre de crises. Des activités variées sont proposées, dont un potager collectif. Cependant, comme dans l’hôpital public de manière générale, le personnel est limité par le manque cruel de moyens, notamment de lits. La prise en charge des personnes très âgées pose particulièrement problème.
Interdiction des PFAS : victoire des écologistes !
Les PFAS, vous connaissez ? Ce sont les per- et polyfluoroalkylées, des polluants éternels qu’on retrouve partout dans notre environnement, dans une multitude d’objets du